Les trois migrants afghans en garde à vue depuis mercredi pour le viol en octobre aux abords de la "Jungle" de Calais d'une interprète travaillant pour France 5 ont été relâchés vendredi, a-t-on appris auprès du parquet de Boulogne-sur-Mer dans le Pas-de-Calais. Leur ADN ne correspondait pas à celui prélevé sur la victime peu de temps après les faits, a indiqué cette même source qui a précisé que "l'enquête se poursuivait".