Ils sont partis le 15 mai, navigateurs et scientifiques, en direction de "l'Océan de plastique", encore appelé "Septième continent". Le but, sensibiliser aux dangers de la pollution et lutter contre l'utilisation excessive de plastiques en étudiant les phénomènes de concentration des micro-particules dans l'Atlantique Nord. L'expression est utilisée pour alerter la population civile du danger de ce phénomène. La métaphore désigne des nappes de déchets de plastique qui se concentrent dans certaines zones océaniques (Atlantique Nord, Pacifique, Océan indien). Cette pollution est le résultat de l'effet des courants qui, influencés par la rotation de la Terre, s'enroulent et forment un gigantesque tourbillon d'eau océanique appelé gyre : en son centre s'agrègent des millions de minuscules morceaux de plastique quasi invisibles à l’œil nu.