Orientation de sécurité routière dans l’Oise : des actions aussi bien préventives que répressives

Ce lundi 18 décembre, le DGO (Document Général d'Orientation) de sécurité routière dans l'Oise pour la période 2018-2022 a été co-signé par le Préfet Louis Le Franc, la Substitut du Procureur de la République de Beauvais, le Conseiller départemental délégué, chargé de la sécurité et et de la protection civile Christophe Dietrich et la Maire de Froissy, représentante de l'UMO (Union des Maires de l'Oise) Catherine Sabbagh. De quoi s'agit-il ?

Ce document est préparé par les services départementaux de l’État. Il fait l'objet d'une concertation avec les acteurs locaux de la sécurité routière (procureur, forces de l'ordre, collectivités, associations, professionnels). Il doit permettre la mobilisation de l''ensemble des acteurs locaux autour d'actions et de véritables projets départementaux pour tenter de contribuer à l'objectif de diminution de l'accidentalité.

Le DGO comprend, en première partie, une étude approfondie de l'accidentalité départementale sur les quatre dernières années, à partir de laquelle sont identifiés les enjeux spécifiques du départements en plus de ceux identifiés au niveau national.

Pour la période 2018-2022, les enjeux au niveau national sont :

-le risque routier professionnel,
-la conduite après usage de substances psychoactives,
-les jeunes, divisés en trois classes (14-17, 18-24 et 25-29 ans),
-les seniors, divisés en deux classes (65-74, 75 ans et plus).

Pour la même période, les enjeux identifiés aux niveau local sont :

-le partage de la voirie (urbain/interurbain)
-les deux-roues motorisés,
-la vitesse,
-les distracteurs.

Le DGO de l'Oise a retenu ces huit enjeux, à partir desquels sont formulées, en seconde partie, des propositions d'actions.

Ces actions, qui sont aussi bien préventives que répressives, sont organisées autours de six thèmes :

-la promotion de la sécurité routière auprès du jeune public,
-la sensibilisation du grand public,
-la lutte contre les principales causes de mortalité routière (alcool, drogue, vitesse),
-la communication et l'information sur les autres comportements à risque
-le partenariat avec les élus locaux
-la sécurité des infrastructures.

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