Une fusion oui, mais pas à n'importe quel prix. Le président français François Hollande veut des garanties. Il a indiqué mercredi qu'il était favorable au "rachat" d'Alcatel par Nokia mais à deux "conditions". "Nous sommes favorables à tout ce qui peut constituer un leader mondial" mais à "deux conditions" l'emploi qui "doit être garanti en France" et la recherche qui "ne doit pas être simplement maintenue en France" mais "augmentée", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Berne.