Faute de personnel dans l'administration pénitentiaire, sa demande de permission pour les fêtes n'a pas été traitée. La comédienne Éva Darlan, présidente du comité de soutien à Jacqueline Sauvage, ne mâche pas ses mots pour dénoncer ce qu'elle considère comme "une honte" de la part de l'administration pénitentiaire. Condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari qui la battait, Jacqueline Sauvage, qui a essuyé divers refus de libération malgré une grâce présidentielle partielle et suscite de nombreux débats sur la justice, ne pourra pas passer les fêtes avec sa famille. Faute de personnel administratif pénitentiaire, sa demande de permission n'a pas été traitée suffisamment tôt pour lui être octroyée, contrairement aux deux années précédentes, comme le souligne France Info.