Un juge fédéral américain a donné partiellement raison samedi soir à des ONG qui contestaient le décret anti-réfugiés signé par le président américain samedi soir, en empêchant l'expulsion des personnes interpellées depuis vendredi en vertu de ce décret, Theresa May fait savoir qu'elle n’est finalement « pas d’accord » avec les restrictions à l’immigration imposées par Donald Trump. Quelques heures après avoir provoqué la polémique dans son pays en refusant de critiquer l’initiative américaine, la Première ministre britannique a cédé, notamment sous la pression de son propre parti.
« La politique d’immigration des Etats-Unis est l’affaire du gouvernement des Etats-Unis comme celle de notre pays doit être fixée par notre gouvernement. Mais nous ne sommes pas d’accord avec ce type d’approche, a déclaré un porte-parole de Downing Street. Si elle a un impact sur les citoyens du Royaume-Uni, nous interviendrons auprès du gouvernement américain. » AFP
