L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) valide la cuve du réacteur, mais estime que son couvercle devra être changé d'ici à 2024. Selon un groupe d'experts consulté par l'ASN, le couvercle et le fond de la cuve de l'EPR présentent des concentrations trop élevées de carbone. Le réacteur nucléaire de troisième génération doit entrer en service à la fin 2018, avec six ans de retard, et un coût qui a triplé, atteignant 10,5 milliards d’euros.
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