L'agence du médicament et de l'Assurance maladie a rendu une première évaluation jeudi 20 avril, faisant état de malformations majeures provoquées par la Dépakine chez 2.150 à 4.100 enfants depuis la première commercialisation en 1967.
Le risque d'observer ces malformations est quatre fois plus élevé chez les enfants nés d'une femme traitée par valproate (substance active de la Dépakine) pour une épilepsie, par rapport aux enfants non exposés in utero à cette molécule. Il l'est deux fois plus lorsqu'elle est traitée par valproate pour troubles bipolaires, selon l'étude. AFP