Selon un sondage Ifop pour le Figaro publié vendredi. Seule une minorité de Français (30%) se déclare favorable "à ce que la France interdise par la loi les châtiments corporels (gifle, fessée) envers les enfants". Entre hommes et femmes, l'Ifop relève six points d'écart : 27% des hommes sont favorables à l'interdiction de la fessée, 33% des femmes. La France a été épinglée le 4 mars par le Conseil de l'Europe pour ne pas avoir encore interdit clairement toutes les formes de châtiments corporels sur les enfants, comme la fessée, contrairement à une majorité de ses voisins.