La "BBC" a dévoilé que Facebook n'aurait pas résisté aux menaces de la justice turque qui voulait faire fermer des pages contenant des caricatures de Mahomet. Peu après l'attentat qui a fait douze morts dans les locaux de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, Mark Zuckerberg, patron de Facebook, avait déclaré "Je suis Charlie". Mais la compagnie américaine a accepté, selon la BBC, de censurer des images représentant le prophète Mahomet, contrastant fortement avec le discours pro-liberté d'expression de son patron