Pour éviter l'"airpocalypse", le Premier ministre chinois a déclaré la guerre à la pollution. Deux mois après un pic de pollution qui a plongé le nord du pays en alerte rouge pendant près d'une semaine, Li Keqiang a promis, dimanche 5 mars, de "rendre le ciel bleu à nouveau", a indiqué l'agence de presse AP.
A l'occasion de son discours prononcé en ouverture de la session annuelle du Parlement, il a assuré vouloir "mener une guerre sans merci pour préserver le ciel bleu."
Alors que des mouvements de protestation sont nés dans plusieurs villes contre la construction d'usines chimiques ou de centres d'incinération, le numéro 2 du Parti communiste a relevé que "les gens attendent désespérément" une amélioration de la qualité de l'air, rapporte AP.