Pour éviter un retard important à la livraison, de nombreux protocoles n’ont pas été respectés à la lettre, au cours de la phase finale d’assemblage de l’A400M. C’est ce qu’affirme ce mardi le site d’information économique espagnol El confidencial. Citant plusieurs sources du secteur aéronautique, il assure qu'il y "a eu une succession d'erreurs techniques et humaines" et qui contrôle les réacteurs – le Full Authority Digital Engine Control - "aurait dû être testé auparavant, en simulateur, pour vérifier que tout fonctionnait correctement". Les sources anonymes précisent que "si l’appareil avait le rodage des moteurs à grande vitesse au sol avant le premier vol, les moteurs se seraient bloqués." Et l'accident aurait propablement été évité.