Clermont : Festival Zicophonies 2015

L'association Clermont Loisir Animation Jeunesse (CLAJ) vous présente le Festival des ZICOPHONIES 2015 de Clermont de l'Oise avec GOJIRA, IGIT et LOFOFORA, les 22 et 23 mai. Cette 20ème édition présente à nouveau des têtes d'affiche nationales qui partageront la scène avec 14 groupes de rock de la Région Picardie au service d'une seule cause :  faire des Zicophonies une fête de la Musique avant l'heure.

 

Pendant 2 jours, la salle A. Pommery de Clermont de l'Oise et son espace vert vont devenir un lieu d’échange, de culture, de rencontre et de fête pour les musiciens et le public. Et parce que c'est un anniversaire, la musique sera un peu plus forte qu'à l'habitude.

GOJIRA est né, dans les landes il y a 20 ans. Ses quatre membres se démarquent dès leurs premières apparitions. Proche d’un death mélodique, ces monstres nous livrent autant sur scène que sur leurs albums des ambiances incroyables, avec une technique irréprochable. Sans conteste unique en leur genre, impétueux, brutal et à la fois lyrique, Gojira s’impose comme une référence de la scène française et mondiale. Incontournable.

 

IGIT, c'est une voix, un timbre rauque qui à lui seul raconte une histoire. Ses affinités avec le Blues et la Folk aident à comprendre les couleurs qui se mélangent dans ses chansons. Dans un nouvel album à paraître en mars 2015, Igit pousse encore plus loin son songwriting et l'immisce naturellement dans de nouvelles sonorités où Folk, Blues et Electronique offrent un écrin inédit à sa voix si particulière.

 

LOFOFORA, 25 ans… Voilà donc vingt-cinq ans que Lofofora essaime, créé, expérimente ce composé de métal-punk aux embruns groove et doté de conscience. Un quart de siècle, depuis sa naissance, que Lofofora parle à nos ventres rock et nos âmes citoyennes ; vingt-cinq ans qu’ils dézinguent une à une les aberrations de cette époque et les absurdités d’un monde dans lequel ils tiennent le cap de l’alternative. Deux décennies et demie de résistance, qui relèvent autant de la vocation musicale que de la certitude idéologique. Véritable Phoenix de la rage, Lofofora persiste et signe pour ce qu’il faut considérer comme un sacerdoce, une mission : maintenir l’idée que l’art –et la musique au premier rang– est, et doit rester, le miroir d’un monde et de ses sociétés.